un nuage qui s’avance
dans le ciel d’azur.
une dernière danse,
et ma démesure.
je vois un pied de géant,
percé par une flèche
qui disparait dans l’océan.
et l’écume l’assèche
mais arrive le mistral,
et le colosse se déchire.
il était fort et pâle...
mort en un soupir.
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